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La CHINE fascine et attire toujours autant… Son patrimoine est d’une infinie richesse et d’une grande diversité… Tant les hommes qui l’ont édifiée que les vestiges qui témoignent de son passé ou encore les paysages d’une beauté rare, sont sources de découvertes exceptionnelles. Aujourd’hui, le développement de la Chine s’est accéléré mais parallèlement les Chinois ont pris conscience de la nécessité de la sauvegarde des sites. Et même si les grandes villes se sont parfois un peu trop occidentalisées, vous tomberez encore au coin de certaines rues ou dans des villages retirés, sur des scènes insolites qui font tout le charme de la destination profondément ancrée dans ses traditions pluri-millénaires…

Rendez-vous à l’aéroport. Assistance aux formalités d’enregistrement et de police. Envol à destination de Pékin. Dîner et nuit à bord.

Petit déjeuner à bord. Accueil à votre arrivée par votre guide national après les formalités de police.

La porte de la passe de Juyong fut construite sous la dynastie des Yuans sur la route qui les conduisait de Pékin vers la résidence d’été de Xanadu (en Mongolie).

Le « Mur des 10 000 li » symbolise l’Empire du Milieu. Pour les Chinois, le nombre de 10 000 traduit l’incommensurable ; de fait, depuis deux millénaires, la Grande Muraille défie les hommes et le temps. Coupée à intervalle régulier par des tours de guet, elle s’étire sur 6 700 km d’ouest en est de la passe Jiayu, dans le Gansu, à la passe Shanghai dans le golfe de Bohai.

Installation à l’hôtel. Bâti dans l’esprit des constructions chinoises traditionnelles avec sa cour carrée, ses toits aux tuiles vernissées… et tout le confort moderne. Dîner et logement.

Treize empereurs Ming sont enterrés dans ce site remarquable, constitué par un cirque de collines en fer à cheval, large de 7 km, profond de 9, ouvert au sud ouest, mais protégé par deux collines à l’entrée, Longshan à droite (colline du Dragon), Hushan (colline du Tigre) à gauche, et traversée presque en son milieu par une rivière perpendiculaire à l’axe qui conduit aux tombeaux. Ce cadre remarquable, protégeant les tombes des influences néfastes apportées par les vents dominants du Nord, est parfaitement conforme aux règles de la géomancie. Le fondateur du site est l’empereur Yongle, qui transféra la capitale de Nankin à pékin. Par la suite, tous ses successeurs sauf un, Daizong (1449-1457), considéré comme un usurpateur, furent enterrés dans cette nécropole.

Aujourd’hui Pékin connaît les plus grandes transformations jamais réalisées depuis l’arrivée des Mongols, il y a 800 ans. Le risque est grand de voir l’héritage d’un empire rasé par les bulldozers. Malgré tout, la ville semble encore défier les urbanistes qui pensent l’agglomération de demain : axes, palais impérial, ceinture urbaine contraignent le développement à se conformer à des orientations et à des règles dont la mémoire s’est parfois effacé.

Le charme de Pékin, c’est surtout son vieux cœur aux maisons basses, en brique et en bois, appelées siheyuan, qui encadrent une cour centrale où fleurissent jujubiers et kakis, monde retranché derrière des murs de briques grises, dans un lacis inextricable de hutongs, ruelles dont l’origine remonte au XIII^e siècle.

Cette immense esplanade en face de la Cité Interdite fut créée par Mao en 1959. C’est du haut de la porte du palais qu’il proclama la République populaire de Chine en 1949 ; tous les monuments sont des vestiges de son règne. A l’est de la place s’étend l’ancien quartier des Légations, souvenir d’une autre époque.

Le Temple du Ciel est la transposition spatiale d’un concept d’organisation de l’univers cosmogonique et politique sur lequel reposait la légitimité impériale.

L’empereur devait célébrer, suivant un rythme saisonnier invariable et lors des cérémonies, des cultes destinés à assurer la cohésion harmonieuse de l’univers. Dans ses dimensions spatiale et temporelle. Ces rituels avaient une fonction essentielle du pouvoir impérial.

C’est une forme d’expression théâtrale, ou un genre dramatique si l’on préfère, et non pas une appellation réservée à la troupe ou aux productions d’un groupe de comédiens qui aurait pour cadre privilégié un théâtre de la capitale chinoise.

Il met en scène quelques-uns des canons de la beauté selon les Chinois : une peau très claire, et même d’un blanc de jade, un visage épilé, des sourcils arqués, qui, grâce à la perfection du maquillage, rappellent le temps ancien où les femmes de la haute société se rasaient les sourcils pour les dessiner au fusain, des lèvres rouges, des gestes gracieux. Quant aux hommes, on attend d’eux la puissance, la sveltesse et la souplesse. Dîner et logement.

Au cœur de la ville, ce prodigieux ensemble architectural de 72 ha, protégé par une enceinte pourpre de 10 m de hauteur et des douves, se compose d’une partie officielle et d’une partie réservée à la vie privée des empereurs et de la cour.

Lieu de résidence du souverain et du pouvoir politique. La Cité pourpre interdite, appelée familièrement Gugong (le « vieux palais ») par les Chinois, fut véritablement le point focal de l’Empire du Milieu. Protégée par son enceinte et de larges douves, elle s’étend au centre de la Ville impériale, dite tartare, elle-même entourée par la Ville extérieure. Son empreinte sur la capitale de l’Empire était à la fois symbolique – par l’interdiction qui était faite d’édifier des monuments plus hauts que ses toits – et bien réelle puisque l’on devait obligatoirement la contourner pour passer des quartiers Ouest aux quartiers Est.

Dans ce labyrinthe de ruelles, au hasard de votre promenade vous aurez peut-être la chance de croiser des marchands ou des artisans ambulants de Pékin ( de plus en plus rares aujourd’hui) : un rémouleur ou un barbier qui appelle le client, chacun avec sa mélopée propre à la corporation, au son roulant et guttural du dialecte local.

Autrefois appelée Chang’An, est connue dans le monde entier pour sa longue histoire et ses trésors archéologiques.

A l’abri des remparts de l’ancienne ville des Mings, vous retrouverez le charme restitué des quartiers d’autrefois. Simple capitale administrative au XV^e siècle, Xi’an fit pourtant l’objet de nombreuses constructions alors et garde de belles architectures de cet Empire : tours de la Cloche et du Tambour, pailou à l’entrée du temple de Confucius, étonnante fusion de l’architecture chinoise avec les prescriptions de l’islam dans la Grande Mosquée, le temple de Confucius abrite aussi la Forêt des stèles et le musée lapidaire.

Le Temple de Confucius :le temple fut construit sous les Song, à l’intérieur se trouve la Forêt des stèles, elle fut institué à partir de 1087, sous les Song du Nord, afin de conserver le Kaicheng Shiling, c’est à dire les Classiques sur pierre de (l’ère) Kaicheng, gravé&s en 837, sur ordre impérial. La collection initiale a été enrichie et les quelque 1 300 stèles exposées aujourd’hui présentent des textes et des œuvres de 206 av. J.-C. à 1991, c’est-à-dire des Han de l’Ouest aux Qing.

La Tour de la Cloche. Erigée sous le règne de l’empereur Taizu, en 1380.

La Grande Mosquée de Xi’an. Vous y trouverez le minaret, le bassin des ablutions et la salle de prière avec sa niche indiquant la qibla et sa chaire à prêcher. Mais, comme souvent dans la tradition des Hui, tout cela est disposé en succession de courettes et de pavillons, agrémentés de parterres et de bosquets, à la mode chinoise.

Temps libre dans Beiyuanmen. Véritable foire à la brocante permanente, aménagée par les habitants du quartier. Des marchands ambulants proposent toute l’année les délicieux lüdougao, gâteaux de pois vert, garnis d’amande ou de sésame.

La Grande Pagode de l’Oie Sauvage. C’était alors le monastère de la Grande Bienfaisance. Xuanzang (602-664), le plus fameux pèlerin chinois qui entreprit entre 629 et 645 un voyage en Inde pour y approfondir sa connaissance du bouddhisme, s’y installa et y dirigea pendant dix-huit ans, jusqu’à sa mort, une équipe de traducteurs.

Dîner et de raviolis et spectacle de danses classiques de la période Tang.

Départ à destination de Lintong, et visite de la grande fouille du Premier Empereur de Qin.

Le tombeau que Shi huangdi des Qin se fit aménager dès son accession au trône était tout aussi colossal que la cité de Xianyang et ses palais. Lorsqu’il mourut en 210 av. J.-C., le premier empereur de la Chine fut enterré dans un tombeau qui avait exigé 36 ans de labeur. Dans la conception chinoise, l’individu conserve son statu et son rang par-delà la mort. Il fallait donc, pour veiller sur l’immense palais funéraire, une garde impériale digne de ce nom, substitut dans la mort des hommes armés qui veillaient sur l’empereur de son vivant. Quatre ans après la mort de Shi huangdi, l’armée d’outre-tombe fut désarmée par les troupes du rebelle Xiang Yu, qui, après s’être emparé de la capitale, tenta de violes le tombeau impérial. Le secret du palais souterrain fut bien gardé, mais les 7 000 fantassins et cavaliers en terre cuite furent incendiés. L’armée en terre vaincue entra dans l’oubli, pour en ressortir qu’un jour en mars 1974, lorsqu’un paysan de la commune populaire de Yanzhai découvrit, en creusant un puits, un quarteron de guerrier en argile. Les archéologues s’attelèrent alors à l’un des plus grands chantiers de l’archéologie mondiale : trois fosses, satellites du tombeau proprement dit, où gisait, sur 20 000 m², une armée en argile en ordre de formation.

Un immense musée a été aménagé, en plusieurs étapes, sur l’emplacement de la fouille des fosses funéraires du complexe du tombeau de Shi huangdi des Qin. Il est distribué en plusieurs bâtiments sur un axe Est-Ouest. De part et d’autre de la cour d’entrée, deux galeries : une exposition très pédagogique des diverses statues découvertes et de leur technique de fabrication, et les chariots en bronze. Dans l’axe de l’entrée, un véritable hall de gare abrite les 16 000 m² de la fosse n° 1, la première ouverte au public (1979). Sur son côté droit, la fosse n° 2, le dernier des secteurs ouvert aux visiteurs, est protégé par une espèce de château fort, puis la fosse n° 3, dite « de l’état-major », dans une sorte de blockhaus en marbre blanc. A l’opposé, sur le côté de la fosse n° 1, vous pourrez bénéficier d’une impressionnante projection sur écran géant de l’épopée de la grande fouille.

Dans une plaine étroite à la végétation luxuriante et aux nombreux étangs, Guilin est entourée de montagnes arrondies ou curieusement ébréchées, caractéristiques des paysages karstiques.

La colline des Couleurs accumulées. Elle doit son nom à des veines de calcaire multicolores qui ont inspiré de nombreux vers dont la roche porte témoignage, sous la forme de stèles.

La colline de Fubo. Le piton Fobo fut ainsi baptisé à la mémoire du général Han Ma Yuan, surnommé le « Brisseur de vagues ». Un sentier entrecoupé de marches conduit au sommet. C’est une courte promenade qui permet de découvrir de merveilleux paysages.

La colline en trompe d’éléphant. Le stupa qui la couronne, dédié au bodhisattva Puxian, fut érigé sous la dynastie des Ming, véritable sémaphore pour qui gagnait Guilin par la rivière.

La grotte des Flûtes de roseau. Des roseaux dont on fait des pipeaux masquaient l’entrée de cette grotte jusqu’en 1959. Son extraordinaire collection de stalactites et stalagmites, colonnes et draperies de calcaire, a fait l’objet d’éclairages étudiés et multicolores, destinés à mettre en exergue les fantasmagories qu’y voit l’imagination des Chinois.

Très agréable lieu de villégiature enchâssé dans ses collines karstiques et lovées dans un méandre du Lijiang : le bourg se parcourt aisément à pied et, surtout, le tourisme ici est bien moins tapageur qu’à Guilin.

Tout le long des rives jalonnées de reliefs en pain de sucre et de petits villages, c’est le spectacle de la Chine traditionnelle avec ses buffles d’eau, ses paysans au travail dans les champs et les rizières, ses pêcheurs au cormoran, accroupis sur leurs radeaux faits de tiges de bambous assemblés.

Une longue rue, pavée et sinueuse, traverse tout le bourg. Pas une construction moderne n’est venue troubler l’alignement des façades en bois, aux portes garnies de sentences parallèles et surmontées du miroir chasseur de mauvais esprits. Quelques-unes ouvrent sur des ateliers où l’on confectionne des balles d’étoffe, brodées de fils multicolores, ou encore des grands éventails en bambou, tendus de tissu rouge.

En cours d’après-midi, transfert à l’aéroport de Guilin et envol à destination de Hangzhou.

Ancienne capitale impériale. Les paysages de Hangzhou sont peut être les plus en harmonie avec l'âme chinoise.

Promenade en barque sur le Lac de l'Ouest. Superbe plan d'eau aux reflets d'émeraude, à la luminosité changeante, vous gagnerez l'île principale du lac de l'Ouest, Xiaoyingzhou, à l'intérieur de laquelle vous verrez un parc botanique en miniature, avec un pont à zigzag qui dessert des kiosques, des pavillons, des terrasses, des bassins à lotus qui forment un lac dans le lac.

Un ruisseau les sépare. L'endroit est aussi surprenant qu'attachant et fort célèbre en Chine. La colline est truffée de petites grottes dans lesquelles ont été sculptées de saints personnages en haut-relief. Elles offrent l'un des rares témoignages de la sculpture rupestre au temps de l'occupation mongole des Yuan.

Fondé en 1874 par Hu Xueyan. Vous serez d’abord attirés par les superbes boiseries qui ornent l’intérieur : dès l’entrée, lanternes à glands et inscriptions en caractères dorés.

Il est situé au village Shuangfeng, au milieu d’un paysage de collines, parsemé de théiers.

Transfert à la gare de Hangzhou, installation en première classe et départ en train à destination de Shanghai.

Ville au nom magique, aussi souvent vantée que décriée, de l’intérieur comme de l’étranger. Ville kaléidoscope, elle garde la trace des multiples cultures qu’elle a abritées dans ses édifices, selon un mélange unique au monde : gratte-ciel du Chicago des années 1920, palaces Art déco, villas néogothiques, normandes ou espagnoles, banques néoclassiques…, sans oublier les célèbres ruelles shanghaïennes, les lilong, premier fruit de la spéculation foncière qui a fait l’essor de la ville au milieu du XIX^e siècle. C’est une nouvelle poussée de fièvre immobilière que la ville est sujette depuis la fin des années 1980, avec ses 20 000 chantiers en cours de la fin des années 1990. mégalopole parmi les plus peuplées et les plus étendues du monde, elle a pour ambition de détrôner Hong Kong dans les prochaines années et de retrouver ainsi sa place perdue de capitale internationale. Centre d’affaires en effervescence permanente, elle s’efforce de devenir une place financière, de rester un foyer culturel ou du moins de lancer les modes qui donnent le ton à la Chine.

Le Bund. Vitrine du Shanghai des années 1930, offre une vue impressionnante des tours de Pudong, le Shanghai de demain. La promenade offre quelques balcons sur le fleuve pour voir glisser les longs trains de péniches avec leur barges, nains du fleuve croisant quelque géant en route vers les chantiers navals.

La rue de Nankin. Avenue prestigieuse de la concession internationale, a marqué avec audace son inscription architecturale dans le site. C’est la principale artère de Shanghai, fréquentée dit-on, par un million de personnes chaque jour. On y trouve en effet les principaux magasins.

La vieille ville. Autrefois circonscrite à l’intérieur de ses murailles, remplacées en 1912 par le boulevard circulaire, l’ancienne ville chinoise est en cours de reconstructions depuis le début des années 1990.

Le jardin Yu. Ce jardin de la joie (yu), abrité derrière des murs où ondulent des dragons, fut aménagé de 1559 à 1577 par un mandarin du nom de Pan Yu, sur un espace réduit de 2 ha, tout ce qui doit figurer dans le jardin d’un lettré : des rochers aux formes fantastiques, un étang, un cours d’eau enjambé par quelques petits ponts, des kiosques, des pavillons dont l’un servait de bibliothèque, des penjing, c’est-à-dire des bonsaïs.

La maison de thé Huxingting. Elle s’élève au milieu du pont aux Neufs Zigzags.

Réalisé par l’architecte shanghaïen Xing Tongha. Assurément l'un des plus riches de Chine grâce à sa collection de bronzes antiques, de céramiques, de porcelaines et de peintures. Trois départements suffisants et fabuleux par la qualité des objets exposés.

S’étendant sur 520 km² entre lamer et le Huangpu, Pudong couvre une superficie équivalente à celle de Singapour. La construction de deux ponts, d’un tunnel et du périphérique a permis de désenclaver une zone traditionnelle déconsidérée. L’édification de la perle d’Orient, devenue avec ses 483 m de haut, le symbole de Shanghai, a contribué à ce rapprochement, du moins visuel : elle se profile lourdement en fond de perspective des rues de Puxi, même à plusieurs kilomètres de distance. Les investissements étrangers dynamisent l’essor de Pudong, où de nombreuses multinationales se sont implantés en un temps record.

Ville de l’eau, des brumes d’or et de la soie… Au bord du Grand Canal, Suzhou est, comme Venise, prise dans une résille de canaux enjambés par d’anciens ponts de pierre. La soie, spécialité de la ville depuis l’époque Tang, est restée l’une des plus importantes activités artisanales. Suzhou fut longtemps le lieu de prédilection des peintres, des poètes, et des mandarins, qui ont fait aménager de splendides jardins.

Créé au XII^e siècle, il doit son nom à l’un des propriétaires qui se qualifiait de pêcheur montrant par là son détachement face à sa carrière politique et son désir de se rapprocher de la nature. C’est l’un de plus petits jardins de Suzhou ; malgré sa taille, il rassemble tout ce qui fait le charme des jardins lettrés, sans que jamais on ne se sente à l’étroit. Ce microcosme est considéré comme une réussite exemplaire de l’art des jardins.

C’est le plus grand des jardins de Suzhou. Son nom s’inspire d’une ancienne maxime qui rappelle la sagesse du vieillard de Voltaire dans Candide : « Cultiver son jardin pour subvenir à ses besoins quotidiens, voilà ce qu’on appelle la politique des simples ». Créé au XVI^e siècle, pour un censeur général, qui vint se retirer à Suzhou après avoir été accusé de corruption et renvoyé de la cour impériale, il fallut 16 ans pour l’aménager.

Ville d’eau où l’on dénombre une quarantaine de ponts qui enjambent les canaux. Vous y découvrirez une ancienne maison d’un riche négociant en riz transformé en un musée présentant des instruments agraires traditionnels et des costumes anciens.

Temple bouddhiste construit en 503 qui abrite 9 statues de Bouddha sculptées en argile.

Transfert à l’aéroport de Shanghai. Assistance aux formalités d’enregistrement et de police. Envol à destination de la France. Dîner et nuit à bord.

Le transport aérien Paris ou Province / Pékin et Shanghai / Paris ou Province sur ligne régulière
Les vols intérieurs : Pékin / Xian / Guilin / Hangzhou sur ligne régulière
Les transferts aéroport / hôtel / aéroport
Le logement en chambre double avec salle de bain ou salle d’eau complète en hôtels de première catégorie
La pension complète avec petits-déjeuners américains du déjeuner du 2^ème jour au déjeuner du 13^ème jour, 1 boisson incluse par personne et par repas (1 verre d’eau minérale, 1 soda, ou 1 bière par repas)
Les excursions et visites en autocar grand tourisme
Droits d’entrée dans les sites visités
Dîner de canard laqué
Spectacle de l’Opéra de Pékin
Dîner de raviolis et de danses classiques de la période Tang
Croisière sur la rivière Lijiang
Promenade en barque sur le lac de l’Ouest à Hangzhou
Spectacle de cirque à Shanghai
Guide/Accompagnateur local francophone
Le port des bagages dans les aéroports et les hôtels
Les taxes et services hôteliers
1 pochette de voyage (liste des hôtels, programme, convocation, étiquettes de voyage, guide le Futé etc…)
un accompagnateur TERRES DE REVE
Les assurances responsabilité civile, accidents, rapatriement et bagages

NOTRE FORFAIT NE COMPREND PAS :

Les boissons, les extra et les dépenses de nature personnelle
Les taxes d’aéroport d’aéroports nationales et internationales
Les taxes chinoises
Les frais de visas (obtention par nos soins)
L’assurance annulation
La chambre individuelle

FORMALITES DE POLICE POUR LES RESSORTISSANTS FRANCAIS :